L’anachronique trahison de Bertrand Du Guesclin

Nous suivons notre fil d’Ariane, à savoir la querelle mémorielle autour de Bertrand du Guesclin. Nous allons ici nous intéresser spécifiquement à la question de l’existence ou non d’une nation bretonne ou, à défaut, de l’existence d’un corps politique breton, au XIVe siècle, auquel du Guesclin aurait pu appartenir, et donc qu’il aurait pu trahir. Après avoir d’abord très rapidement dressé une histoire de la Bretagne jusqu’au XIVe siècle, nous nous attarderons sur cette période précise.

 

I) Brève histoire de la Bretagne jusqu’au XIVe siècle

 

La colonisation de l’Armorique

Pour rappel, l’Armorique, nom originel de la péninsule bretonne, fut une terre gallo-romaine, latinisée surtout dans les villes et en Haute Bretagne (actuels Ille-et-Vilaine, est du Morbihan et est des Côtes d’Armor) à la suite de la conquête des Gaules par les Romains, le reste du pays conserve une forte identité celte. Entre les IVe et VIe siècle, débarquèrent massivement sur la péninsule les Bretons, peuple venu de l’ouest de Grande Bretagne, notamment de Cornouailles anglaise, région située à l’extrême sud-ouest de l’île, afin, probablement, de fuir la pression des païens Saxons, Pictes et Scots qui ravageaient alors l’île, victimes directes de l’effondrement de l’Empire Romain et donc de la pax romana (paix romaine).

Un métissage culturel s’effectua alors en Bretagne, une nouvelle « celtisation » du territoire eut lieu en Basse Bretagne (actuels Finistère, ouest du Morbihan et ouest des Côtes d’Armor). Même si la majorité de la population demeurait d’ascendance gallo-romaine, l’aristocratie bretonne prit peu à peu le pas sur les élites locales, à la manière des Francs dans le reste de la Gaule. Il est à noter qu’alors que les Francs n’imposèrent pas leur langue dans la majorité de la Gaule conquise, et qu’ils abandonnèrent leurs croyances[1], les Bretons quant à eux imposèrent leur langue et leur pratique du christianisme sur une bonne partie du territoire qu’ils colonisèrent. L’organisation et l’administration du territoire armoricain furent dès lors complètement façonnées par le clergé breton. L’administration royale franque n’étant pas stable du fait des conflits incessants de successions entre les différents héritiers de Clovis, la Bretagne jouissait alors d’une autonomie forte, mais elle n’était pas pour autant unie. En effet, le corps politique localement établi était alors l’évêché, et la région en comptait déjà plusieurs.

L’époque carolingienne et les rois bretons

L’ascension des Carolingiens changea la donne. Pépin le Bref puis Charlemagne et Louis le Pieux mettant la Bretagne sous leur sujétion, et maintenant cet état malgré les différentes révoltes. Louis le Pieux nomma même un certain Nominoë, vannetais, comme Comte de Bretagne[2]. Avec l’affaiblissement du pouvoir royal à la succession de Louis le Pieux, puis avec les rois carolingiens successifs, la Bretagne n’échappa pas au mouvement de la féodalité, qui constitua, comme nous l’avons vu, une véritable redistribution du pouvoir politique et de la puissance « publique » – qui était d’ailleurs privée – entre les différents niveaux de la pyramide féodale.

C’est alors que le Comte de Bretagne et ses successeurs prirent leur indépendance, s’appuyant d’abord sur une allégeance à l’Empereur germain (une situation qui se répétera malheureusement plusieurs fois dans l’histoire), puis jouant directement du rapport de force qui penchait alors en leur faveur. Le fils de Nominoë, Erispoë, alla même jusqu’à porter le titre de roi, bien qu’il continuât toujours de rendre hommage au Roi des Francs, du moins en théorie. S’il devait y avoir une période au cours de laquelle on puisse considérer la Bretagne comme constituant un corps politique, c’est probablement celle-ci, car elle était de fait indépendante. Par la suite, l’héritier d’Erispoë, Salomon, prêta à nouveau hommage à Charles le Chauve, reconnaissant l’hégémonie franque, le duché retournant dans le giron du Royaume des Francs.

L’indépendance bretonne ne fut pas éteinte tout à fait, et l’épisode des invasions normandes donna l’occasion à un nouveau seigneur de s’imposer comme Roi de Bretagne : Alain le Grand, Comte de Broweroch. Ce fut le second et dernier des Rois bretons, ces successeurs reprenant le titre de Duc pour eux-mêmes. Il est à noter que, malgré la résistance d’Alain Le Grand, puis de son petit-fils, Alain Barbetorte, les incursions normandes se soldèrent par l’installation de ces hommes du nord en Haute Bretagne, qu’ils peuplèrent d’ailleurs plus que les Bretons eux-mêmes.

 

L’époque capétienne et la stabilisation du Duché dans le Royaume

Par la suite, le Duché continua de s’administrer en autonomie, les ducs ayant pour suzerain le Roi des Francs, puis le Roi de France[3], mais aussi leurs voisins de la Maison de Normandie d’abord, puis de la Maison Plantagenêt ensuite (notamment sous le règne d’Henri II). Sous le règne de Philippe Auguste, la maison capétienne prit le pouvoir dans le duché, plaçant un descendant direct de Louis VI le Gros, Pierre de Dreux, sur le trône ducal. Pendant près de deux siècles, les ducs de Bretagne demeurèrent des vassaux fidèles du Roi de France, et se plièrent quasiment tous à leurs devoirs vassaliques. L’influence française était par ailleurs extrêmement présente en Bretagne, l’ère linguistique bretonnante reculant de plus en plus vers l’Ouest de la péninsule. Cette période fut l’une des plus calme et des plus prospère de la Bretagne, jusqu’à la Guerre de Succession du duché à la mort de Jean III.

 

II) La Bretagne du XIVe siècle : une région dans l’orbite des puissances voisines

 

Les raisons de la controverse

Pourquoi nous attarder précisément sur le XIVe siècle plutôt qu’un autre ? Le 18 décembre 1378, le Parlement de Paris décida la condamnation de Jean IV, Duc de Bretagne, pour crime de lèse-majesté, félonie, et parjure. La décision fut motivée par le fait que le vassal du Roi de France était entré ouvertement en guerre contre lui aux côtés des Anglais. En conséquence, le Parlement de Paris prononça également la commise de son fief, en vertu du droit féodal. Le Roi de France Charles V, dit le Sage, dans son bon droit, décida ainsi d’annexer le Duché de Bretagne au Domaine Royal, comme Philippe Auguste l’avait fait avec le Duché de Normandie en 1202. Bertrand du Guesclin, alors Connétable de France, fut mandaté par le Roi pour faire exécuter cette décision. En tant que breton, il était pris entre deux feux : ses amis, ses compagnons d’armes, la haute noblesse de Bretagne, soutenaient pour la plupart l’ancien Duc, bien qu’ils implorèrent le Roi de France de les en débarrasser 5 ans plus tôt[4]. Ce dernier s’était alors peut-être montré trop magnanime et avait préféré temporiser. Finalement, la commise du Duché n’eut pas lieu, et l’affaire se régla de manière amiable, Jean IV renvoyant les Anglais chez eux, et prêtant hommage-lige au Roi de France. Afin de renforcer la légitimité et l’autorité ducale, les chroniqueurs bretons au service du Duc, magnifièrent l’événement pour l’ériger en acte de résistance, le point d’acmé étant atteint avec le débarquement du Duc à Dinard, présenté comme étant un retour triomphale devant une foule populaire, alors que ladite foule ne fut en réalité constituée que de quelques centaines de personnes. Ces chroniqueurs ducaux, à commencer par Guillaume de Saint-André, puis Hervé Le Grant, Jean de Saint-Paul, et d’autres, affublèrent Bertrand du Guesclin de tout un tas de noms d’oiseau, l’accusant de trahison envers les siens.

L’ensemble de notre propos a eu pour but d’expliquer ce que pouvait être le corps politique et le titulaire de la souveraineté au Moyen Âge, mais également au siècle de du Guesclin. L’existence ou non de cette entité, permet de clore le débat sur cette histoire vieille de six siècles, et qui continue pourtant encore aujourd’hui d’alimenter les fantasmes de nationalistes bretons qui dissimulent assez mal une francophobie patente.

L’inexistence d’une nation bretonne au XIVe siècle

Comme nous l’exposions plus haut, la période d’indépendance du Duché de Bretagne n’a été que très brève et elle d’ores et déjà révolue au XIVe siècle. La Bretagne, (comme la Provence, la Bourgogne, ou la Navarre) n’a réellement formé un corps politique qu’en occupant l’espace laissé vacant par les monarchies franques, lorsqu’elles entraient en décadence. Au moment de l’avènement de chacune de ces dynasties, la Bretagne retourna immanquablement dans le giron des Rois Francs. Ce phénomène est compréhensible du fait de la situation géographique de la région. Isolée par rapport au continent, elle représente la limite naturelle occidentale de la Gaule. Ce fait est notamment prégnant chez les premiers Carolingiens. Ceux-ci regardant vers l’Est, ils ne pouvaient avoir une base arrière remuante qui pouvait se révolter à l’Ouest. La Bretagne constituait alors une assise stratégique qu’il fallait maîtriser pour pouvoir lancer les grandes conquêtes évangélisatrices à l’Est, et poursuivre l’œuvre impériale temporelle, qui conférait aux Francs le devoir de conquérir le monde[5].

S’il est vrai que durant une courte période, la Bretagne a été réellement indépendante, et que même vassalisée, elle a conservé une autonomie très forte, parler de « nation » comme le fait clairement la frange radicale des nationalistes bretons est en revanche une erreur majeure, le concept étant complètement anachronique. En effet, l’idée même de former une nation n’effleurait pas encore l’esprit du peuple (quel qu’il soit). Or il ne peut y avoir de nation sans peuple. Les habitant de l’Armorique, mélange hétéroclite de Gallo-romains, de Vikings et de Bretons, n’ont pas conscience de former un peuple, et a fortiori de former une nation. L’horizon du paysan de l’époque étant le fief de son seigneur, il ne pouvait avoir de lien au-delà du lien féodal, l’unissant de manière abstraite à un paysan vivant à des centaines de kilomètres, dont il ne parlait pas la langue, qui ne partageait pas ses traditions[6]. Le seul lien pouvant unir les Bretons, était celui du seigneur commun, à savoir le Duc, puis beaucoup plus lointain le Roi, et enfin évidemment Dieu et le Christ.  D’ailleurs, le peuple n’était alors pas titulaire du pouvoir, de l’exercice de la souveraineté. Les paysans et les bourgeois n’avaient aucune prérogative politique hors de celles qui ont été concédées aux communes au XIIe siècle. Or c’est bien là pourtant que le concept de Nation tire tout son sens politique[7].

La politique au Moyen Âge, et surtout en Bretagne, était faite par le clergé, qui ne voyait que par la chrétienté, et par la noblesse, qui était surtout préoccupée par ses luttes dynastiques et le maintien de ses franchises et privilèges. L’affaire de l’annexion du Duché par le roi, et l’indignation de la noblesse bretonne ne démontrait rien de plus qu’une volonté féroce de maintenir ses privilèges locaux et d’éviter à tout prix de se mettre dans la soumission directe du puissant Roi de France. Aucune conscience nationale n’est réellement perceptible alors. Comme nous l’évoquions également dans notre article précédent, les nobles bretons se sont empressés de demander au Roi de demeurer le suzerain du fief. L’attitude du Vicomte de Rohan est à cet égard assez exemplaire de celle adoptée par la plupart des nobles. Lorsque le Roi lui avait demandé de soutenir sa démarche (en même temps qu’il le demandait à du Guesclin, Clisson, et Laval), il avait dit oui. Puis il avait louvoyé et soutenu le retour du Duc. Dans le même temps, il continuait de clamer sa soumission au Roi de France par l’entremise du frère de celui-ci, le Duc d’Anjou : « Tant que je vivrai, suy et serai léal subget et obbéissant au roi et à vous »[8].

Au Moyen Âge, seul le lien d’homme à homme existe. Il ne faut donc pas confondre le lien de sujétion, qui unit le paysan à son seigneur, ou le lien vassalique, qui unit ledit seigneur à son suzerain, avec le lien national, qui unit un ensemble d’hommes entre eux dans une communauté de destin historique.

Nous pouvons poursuivre notre raisonnement avec la notion de corps politique. Car si la Bretagne ne formait pas une nation, formait-elle un corps politique ?

 

L’inexistence d’un corps politique breton au XIVe siècle

Nous avons plus ou moins déjà répondu à cette question en donnant la définition du corps politique dans la société médiévale[9]. Cette définition est étroitement liée à celle de la souveraineté, et à l’identité de son titulaire. La souveraineté du corps politique dans l’Europe féodale ne reposant que sur les épaules d’un homme, il apparaît que si ce dernier accepte d’être le vassal d’un autre, il ne peut être le représentant d’un corps politique. Du moins, à la condition que ledit suzerain puisse faire respecter son bon droit par son vassal. Tout est donc question de rapport de force.

Pour juger si à l’instant « t » le duché formait un corps politique, il faut mesurer l’intensité du lien vassalique entre le Duc de Bretagne et son suzerain le Roi des Francs, puis le Roi de France. Or, il apparaît que la Bretagne, sous la forme ducale, voire royale, a pu constituer un corps politique, mais que cet état n’a jamais été qu’intermittent et permis par la faiblesse momentanée de son voisin franc. Une étude plus poussée, à l’intérieur du Duché, et dans les rapports qui liaient le Duc à ses vassaux nous permettrait d’envisager si la souveraineté n’était pas descendue effectivement, comme pour le Roi, aux échelon inférieurs de la pyramide féodale[10]. Ainsi, l’on a donc un mouvement de balancier entre plusieurs corps politiques – car le Duché de Normandie puis le Comté d’Anjou ne sont pas en reste face au Royaume de France dans cette lutte d’influence – pour la souveraineté de ce territoire.

Or, au XIVe siècle, à la mort de Jean III, la Bretagne n’était plus un corps politique depuis plusieurs siècles[11]. La question de la succession du Duché de Bretagne qui suivit cette disparition est d’ailleurs l’illustration de la perte de cette qualité : cet affrontement était un conflit périphérique de la Guerre de Cent ans entre les Valois et les Plantagenets, une lutte pour savoir laquelle des deux dynasties dominerait la région en plaçant son vassal sur le trône ducal. A cet égard, on peut rapprocher cette guerre de la Guerre de succession de Castille, à laquelle Bertrand du Guesclin participa également. L’illustration de ce théâtre d’ombres était l’article 20 du Traité de Brétigny, qui prévoyait que la crise de succession bretonne sera résolue par la conciliation, ou à défaut par l’arbitrage, des rois d’Angleterre et de France. Les deux prétendants, Blois et Montfort devant se soumettre à cette procédure. La destinée du Duché n’était donc absolument pas entre les mains de son duc, ni même de celle de ses puissants vassaux.

La Bretagne ne devint pas un corps politique non plus à la suite de l’avènement de Jean IV, ce dernier n’étant que la marionnette d’Edouard III d’Angleterre puis de son petit-fils Richard II, véritables maîtres du duché. Pour appuyer ce propos, nous pouvons citer quelques exemples, comme le traité de Westminster du 7 juillet 1362, par lequel Jean IV promit, devant témoin et la main droite sur l’Evangile, de ne pas se marier sans l’accord de son maître anglais. Dans ce même acte, Jean IV pardonna également toutes les exactions des routiers et soldats anglais sur le sol breton (et Dieu sait qu’il y en eut…), s’adressant au Roi d’Angleterre par les termes suivants : « très excellent prince, notre très redouté père et seigneur ».

L’issue de l’affaire de 1379, et l’hommage-lige prêté au Roi de France, c’est-à-dire un hommage supérieur à tous les autres, ainsi que le maintien du Duché comme Duché-pairie de France, maintinrent fermement la Bretagne dans le Royaume de France. Il apparaît donc que le Duc, n’était pas le dépositaire de la souveraineté du Duché et que la région est déjà fondue dans un autre corps politique. Il n’y avait aucune aspiration à la verticalité au sein du Duché, simplement un rapport de puissance entre les corps politiques du Royaume de France et du Royaume d’Angleterre pour l’absorber.

Pour conclure, ces raisonnements nous permettent d’affirmer que le procès qui est fait encore par une certaine frange des nationalistes bretons à l’ancien Connétable de France, que les attentats contre les statues lui rendant hommage, ne sont que la manifestation criante d’une ignorance protubérante ou d’une mauvaise foi incurable. La Bretagne ne constituant pas un corps politique à l’époque, du Guesclin ne peut décemment pas être accusé de l’avoir trahie. Il serait donc temps, une bonne fois pour toute, de refermer cette querelle mémorielle – et non pas historique, les historiens ayant tranché cette histoire depuis longtemps – et d’avancer, car la France aura des défis trop importants à relever au XXIe siècle, pour se permettre de traîner des boulets du XIVe siècle.

 

Anthony Véra-Dobrões


[1]  C’est la fameuse formule que Grégoire de Tours a mis dans la bouche de l’évêque Saint-Rémi de Reims « Courbe toi, ô fier Sicambre, adores ce que tu as brûlé et brûle ce que tu as adoré ».

[2]  Nominoë se fera appeler Duc, titre qui lui sera reconnu par la chancellerie pontificale. A noter ici que la chancellerie franque gardera pour la Bretagne l’appellation de Comté jusqu’à ce que Philippe Le Bel érige la province en Duché-pairie en 1287.

[3]  Il convient donc de rappeler ici que la Bretagne était un fief du Royaume de France, et non pas un État souverain comme l’affirme certaines sources internet, comme Wikipédia.

[4]  Nous renvoyons ici nos lecteurs à notre article Bertrand du Guesclin : Un modèle de loyauté.

[5]  Et pas seulement l’Europe, contrairement à une certaine révision historique à des fins politiques promue par les idéologues de la construction européenne. Nous renvoyons à ce sujet le lecteur vers l’article de Killian Schwab : Charlemagne, père de l’Europe : un davidisme contemporain.

[6]  Cf : Le corps politique au Moyen-Âge – Un émiettement façon puzzle ? https://www.cercleduguesclin.fr/2021/05/21/le-corps-politique-dans-la-societe-feodale-un-emiettement-facon-puzzle/

[7]  La Révolution française étant le changement d’identité du détenteur de la souveraineté. Ce passage de témoin s’effectue de la Couronne à la Nation, et entraîne donc la mutation du corps politique qui passe du Royaume de France à la Nation française. Évidemment, cette mutation du corps politique s’inscrit sur plusieurs siècles.

[8]  Georges Minois : Du Guesclin, p446, édition Fayard, 1993.

[9]  Cf : Le corps politique au Moyen-Âge – Un émiettement façon puzzle ? https://www.cercleduguesclin.fr/2021/05/21/le-corps-politique-dans-la-societe-feodale-un-emiettement-facon-puzzle/

[10]  Ce texte n’étant qu’un modeste article d’un profane mais passionné, et non d’un historien, nous ne nous risquerons pas à nous aventurer en eaux si profondes, dépassant de loin le cadre de nos recherches et connaissances.

[11]  Cette transition se faisant sur un temps long et non pas à la suite d’un ou de plusieurs épisodes particuliers.

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